Le Conseil du Coton et de l’Anacarde (CCA) qui régule la filière, a débloqué 30 milliards FCFA auprès de deux banques locales pour accélérer, faciliter et améliorer l’achat des noix brutes de cajou auprès des braves producteurs de cajou qui, pour la première fois depuis des décennies sont extrêmement satisfaits du déroulement de la campagne 2025.
Sous l’impulsion du Président de la République SEM Alassane Ouattara qui a défini sa vision et ses attentes pour la filière cajou et coton, le nouveau Directeur Général du CCA, Mamadou Berte, a entrepris des réformes structurelles qui en quelques mois produisent leurs effets sur le terrain.
Aujourd’hui, le prix bord champs de cajou est à 425 Fcfa/kg soit le prix le plus haut de toute la sous-région ouest africaine. La contrebande de noix brutes de cajou ivoirien n’est plus qu’un lointain souvenir.
Alors que par le passé, le prix aux producteurs n’était jamais respecté par les acheteurs et les exportateurs, cette saison, dans toutes les régions de production de cajou, les braves producteurs affichent un satisfecit général et remercient tous le Chef de l’Etat Alassane Ouattara pour son leadership, sa vision et la tenue de ses engagements vis à vis des agriculteurs ivoiriens.
Oui, Alassane Ouattara est l’ami et le défenseur des agriculteurs ivoiriens mais aussi le protecteur des producteurs de cajou et de coton en Côte d’Ivoire.
Le CCA qui avait promis une campagne cajou et coton 2025 sans problème et sans difficulté aucune pour les différents acteurs de la chaîne de valeur, est en train de réussir sans bruits son pari.
En effet, contrairement à un passé récent, cette année, les transformateurs locaux de cajou ont été financés, le stock d’amorçage de 20% pour démarrer la saison a été mis à disposition très tôt et surtout, les transformateurs ont pu pendant deux mois, acheter sans pression et sans concurrence, les volumes de noix brutes de cajou et la meilleure qualité, avant les exportateurs asiatiques. Du jamais vue et du jamais fait en Côte d’Ivoire.
Cette réforme fait partie de la vision du Président de la République que le Directeur Général du CCA Mamadou Berte a su mettre en Œuvre en si peu de temps.
Avec une production annuelle de 1,1 millions de noix brutes de cajou, la Côte d’Ivoire est de très loin le premier producteur mondial de cajou et se tourne à présent vers la transformation pour capter plus de valeur ajoutée pour notre économie mais aussi pour accélérer l’industrialisation de ce secteur.
Très bientôt, grâce aux réformes du CCA, de nouvelles usines de transformation finaliseront leur implantation en Côte d’Ivoire grâce aux 3 nouvelles zones industrielles (Bouaké, Korogho et Yakro) que le régulateur fait naître.
La Côte d’Ivoire qui vise 50% de transformation risque de se situer à 60% de sa production, tant le secteur est redevenu attractif. Les transformateurs locaux qui jusqu’ici éprouvaient des difficultés à trouver des marchés d’exportation pour leurs amandes seront accompagnés par le CCA dont la stratégie est de faire émerger au minimum 7 champions nationaux dans le secteur. Déjà, avec la nouvelle politique commerciale du CCA, la visibilité du secteur cajou favorise la croissance des ventes et la consommation des amandes ivoiriennes. Les amandes ivoiriennes seront bientôt partout dans le monde.
Selon Mamadou Berte, d’ici 3 ans, une fois que toutes les reformes actuellement en cours seront en phase de développement, le secteur cajou et coton sera l’un des plus attractifs, industrialisés et surtout le plus grand pourvoyeur d’emplois pour les jeunes et les femmes. Grâce au Président Alassane Ouattara, la filière cajou et coton retrouve sa place dans l’économie ivoirienne et redonne de l’espoir aux braves producteurs.
Pour Mamadou Berte, Le CCA se tiendra toujours aux côtés des producteurs et des industriels nationaux pour bâtir une économie du secteur au service des nationaux.