Le lundi 3 février 2025, le Directeur Général du Conseil du Café-Cacao, Monsieur KONE Brahima Yves, avec, à ses côtés, le Directeur Général Adjoint, Dr. KOFFI NGoran et de hauts responsables de la structure, a reçu une importante délégation de l’Agence de Promotion des Exportations et Investissements du Brésil (ApexBrasil).
Cette délégation, mise en mission par le Président de la République fédérative du Brésil, SEM Luiz Inacio LULA afin de participer au Séminaire d’Affaires Brésil-Côte d’Ivoire tenu à Abidjan ce même jour, était conduite par Madame Ana REPEZZA, Directrice Commerciale de l’ApexBrasil et composée, notamment, de SEM José Carlos de ARAÚJO LEITÃO, Ambassadeur du Brésil en Côte d’Ivoire, de Monsieur Luis Renato de ALCANTARA RUA, Directeur du Commerce et des Relations Internationales du Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage du Brésil, de grands producteurs de cacao et chercheurs brésiliens.
Cette rencontre était l’occasion pour les Brésiliens d’affirmer leur ferme volonté de coopérer avec la Côte d’Ivoire pour le développement et la promotion des secteurs du café et du cacao. L’objectif majeur étant de mutualiser les efforts des pays producteurs aux fins de renforcer leur production, les pratiques durables et leur insertion compétitive dans la chaîne de valeur mondiale du café-cacao
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Le Directeur Général du Conseil du Café-Cacao, se réjouissant de cette initiative, n’a pas manqué de rappeler que le « cacao, alors connu sous le nom évocateur de “nourriture des Dieux”, est arrivé en Afrique en 1822, grâce à José Maria de Sousa qui amène avec lui la variété forastero du Brésil. Et nous connaissons tous la suite de l’histoire : depuis plus de 40 ans, la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de cacao. Ainsi, la boucle est bouclée : le Brésil a apporté le cacao à la Côte d’Ivoire et, aujourd’hui, afin de continuer à développer notre cacao, nous allons faire le reste du chemin ensemble. En bénéficiant de votre expertise et vous de la nôtre en matière de recherche agronomique, de production durable, de transformation et de promotion, nous travaillerons de concert pour une meilleure productivité et une meilleure répartition de la valeur de la chaîne de production du cacao. »
