Le ministère des Ressources animales et halieutiques (MIRAH) et l’Agence Japonaise de Coopération internationale (JICA) ont amorcé, mercredi 27 avril 2022, la seconde phase de leur coopération dans le secteur piscicole, à travers le projet de relance de la production piscicole continentale par le développement de la chaîne de valeur des poissons d’aquaculture (PREPICO 2).
Un comité technique d’experts s’est réuni, à cet effet, à la direction de l’Aquaculture et des pêches sis à Abidjan-Vridi, pour valider le cadre logique et approuver le plan d’activités annuel 2022 du PREPICO 2, nécessaires au démarrage effectif du projet qui traduit la parfaite collaboration entre les gouvernements ivoirien et japonais.
Le PREPICO 2 fait partie des initiatives ayant adopté une démarche scientifique, afin de doter le MIRAH d’outils de planification technique pour redynamiser la pisciculture continentale. Ce projet envisage de rendre la pisciculture ivoirienne plus compétitive et plus rémunératrice pour les acteurs de la chaîne de valeurs, a révélé le représentant résident de la JICA en Côte d’Ivoire, Fujino Kojiro.
Prévue sur une période de 66 mois (octobre 2021 à mars 2027), le PREPICO 2 sera réalisé dans le district autonome d’Abidjan, les régions du Sud-Comoé, de l’Agnéby-Tiassa, des Grands-ponts, de l’Indenié-Djuablin et de la Mé. Le budget prévisionnel mobilisé par la partie japonaise dans sa mise en œuvre s’élève à 3,21 milliards de francs CFA réparti sur toute la période d’exécution du projet, a-t-on appris.
Le directeur de cabinet adjoint du ministre des Ressources animales et halieutiques, Gouromenan Assoumany, a souligné que son ministère, à travers la politique nationale de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture (PONADEPA 2022-2026), ambitionne de produire 150.000 T de poissons par la mise en place de projets aquacoles avec l’appui des partenaires techniques et financiers.
« L’objectif du projet PREPICO 2 qui vise à développer la pisciculture à travers l’approche orientée vers le marché s’arrime bien avec la vision du président de la République exprimée dans la PONADEPA, à savoir garantir la sécurité alimentaire en matière de protéines animales de qualité », a-t-il ajouté.
Selon le rapport sur la situation mondiale des pêches et de l’aquaculture (SOFIA 2020) de la FAO, la contribution de l’aquaculture à l’approvisionnement en poisson destiné à la consommation humaine a dépassé celles des pêches de capture.
(AIP)
Tg/kp
Un comité technique d’experts s’est réuni, à cet effet, à la direction de l’Aquaculture et des pêches sis à Abidjan-Vridi, pour valider le cadre logique et approuver le plan d’activités annuel 2022 du PREPICO 2, nécessaires au démarrage effectif du projet qui traduit la parfaite collaboration entre les gouvernements ivoirien et japonais.
Le PREPICO 2 fait partie des initiatives ayant adopté une démarche scientifique, afin de doter le MIRAH d’outils de planification technique pour redynamiser la pisciculture continentale. Ce projet envisage de rendre la pisciculture ivoirienne plus compétitive et plus rémunératrice pour les acteurs de la chaîne de valeurs, a révélé le représentant résident de la JICA en Côte d’Ivoire, Fujino Kojiro.
Prévue sur une période de 66 mois (octobre 2021 à mars 2027), le PREPICO 2 sera réalisé dans le district autonome d’Abidjan, les régions du Sud-Comoé, de l’Agnéby-Tiassa, des Grands-ponts, de l’Indenié-Djuablin et de la Mé. Le budget prévisionnel mobilisé par la partie japonaise dans sa mise en œuvre s’élève à 3,21 milliards de francs CFA réparti sur toute la période d’exécution du projet, a-t-on appris.
Le directeur de cabinet adjoint du ministre des Ressources animales et halieutiques, Gouromenan Assoumany, a souligné que son ministère, à travers la politique nationale de développement de l’élevage, de la pêche et de l’aquaculture (PONADEPA 2022-2026), ambitionne de produire 150.000 T de poissons par la mise en place de projets aquacoles avec l’appui des partenaires techniques et financiers.
« L’objectif du projet PREPICO 2 qui vise à développer la pisciculture à travers l’approche orientée vers le marché s’arrime bien avec la vision du président de la République exprimée dans la PONADEPA, à savoir garantir la sécurité alimentaire en matière de protéines animales de qualité », a-t-il ajouté.
Selon le rapport sur la situation mondiale des pêches et de l’aquaculture (SOFIA 2020) de la FAO, la contribution de l’aquaculture à l’approvisionnement en poisson destiné à la consommation humaine a dépassé celles des pêches de capture.
(AIP)
Tg/kp